Le procès aux assises s'est terminé le 17 juin 2008. Patrick James condamné à 21 ans de réclusion.

La famille est déçue de cette peine qu'elle estime clémente au regard des faits horribles commis sur Natacha.

Repose en paix Natacha. Là où tu es, plus personne ne te violera.

27 juin 2013


Ce 26 juin 2013, Natacha aurait eu 27 ans si elle n'avait été lâchement assassinée par le dangereux pervers Patrick James.

A signaler que le pervers devrait sortir de prison au cours de cette année 2013.

A signaler également qu'il retournera bientôt en prison quand il aura, de nouveau, violé  des gamines sans défense.

J'espère le croiser par hasard avant qu'il n'ait eu le temps d'assassiner qui que ce soit. 

26 juin 2012

Déjà 6 ans

Ce 26 juin 2012, Natacha aurait eu 26 ans si elle n'avait été lâchement assassinée par le dangereux pervers Patrick James.

26 juin 2011

Déjà 5 ans

Ce 26 juin 2011, Natacha aurait eu 25 ans si elle n'avait été lâchement assassinée par le dangereux pervers Patrick James.

20 mars 2011

Patrick James
















Déposition de la maman de Patrick James : Mon fils est un salaud et un manipulateur. Voilà le personnage résumé.

11 octobre 2010

La cour et le jury ont souligné "le machiavélisme de l'accusé qui, avec l'assistance de cousins supposés qui dialoguaient - principalement par courriels - avec la victime, avait fait croire à celle-ci qu'elle était atteinte d'une maladie mortelle, dont le seul remède était d'entretenir des rapports sexuels avec lui seul" et le fait que "l'accusé n'a pu admettre que l'objet de sa passion ait repris sa liberté, que l'expertise médico-légale a mis en lumière l'extrême violence dont a fait montre l'accusé pour réaliser son funeste dessein".

7s7

14 septembre 2010

Le samedi 1er juillet, à 0 h 13, la boîte vocale du GSM de Natacha Karlowski enregistre ce message de Patrick James : « Tu m’avais dit tout à l’heure que tu me rappellerais vers 10 heures et je n’ai pas de nouvelle de toi. J’espère que tout va bien. » Natacha est déjà morte, à cette heure-là. Et Patrick James ne l’ignore pas : il vient de la tuer, à coups de gourdin, dans une allée de la forêt de Soignes, à proximité du Rouge Cloître.

16 juin 2010

Tu nous manques toujours




Notre très chère Natacha, ce 26 juin 2010, tu aurais eu 24 ans et tu nous manques beaucoup. Les jours passent vite mais pas un seul sans penser à toi. Repose en paix petit Ange.

28 juin 2009


Ce venfredi 26 juin 2009, tu aurais eu 23 ans.

22 décembre 2008

Indices



Emission " Indices " de RTL-TVI consacrée à Natacha.

10 septembre 2008

Indices


L'émission "Indices" du mercredi 10 septembre 2008 à 19h45, sur RTL TVI, était en partie consacrée à Natacha.

Cette vidéo sera visible sur ce blog d'ici quelques jours.

24 août 2008

De Wuphoenix

"l'examen psychologique a mis au jour une personnalité névrotique dont les traits principaux appartiennent au registre de l'obsessionnel avec, outre des tendances narcissiques importantes, des tendances paranoïdes et un recours à la manipulation visant à soumettre autrui à sa volonté et à le contrôler, l'aménagement de type pervers - s'initiant dans l'enfance - étant, quant à lui, également mis en évidence". :

Ce que ce monde peut créer comme monstre-urbains me révolte tous les jours, et la souffrance qu'ils génèrent autour d'eux, encore plus !
La douleur d'une vie gâché engendrant la folie, et la folie engendrant le crime, qui, à son tour engendre la douleur des proches de la victime...c'est un cercle vicieux qu'il faut savoir (et pouvoir) briser !

J'ai vu ton blog et j'ai lu les articles.
Ce devait être une grande fête, et c'est devenu une tragédie.

Je suis certains que, tout comme ta sœur, tu devais attendre beaucoup de ce jour, et qu'un homme, rendu fou et dangereux par une vie de merde, à brisé votre rêve commun.

Mais j'aimerai te dire, au delà de la tristesse que j'éprouve quand je vois le drame que tu vis, et de tous mes sincères vœux de réconfort pour toi et les tiens, dans la peine qui est la votre aujourd'hui, j'aimerais te dire de ne pas t'enfermer dans la haine, ou dans le reproche : c'est un gâchis inutile, et il t'éloigne de ce que tu étais revenu chercher à Bruxelles, après toutes ces années en Californie.

Tu devais retrouver ta sœur, que tu n'avais pas vu depuis de nombreuses années, et qui avait eu une vie sans toi : l'as tu fait ?
Si non, alors fais le !

grduc : Petite confusion compréhensible, certains journaux ayant mal relaté notre parcours. C'est mon plus jeune frère Dimitri, né en Californie mais vivant en Russie qui avait perdu Natacha de vue; moi même (Vladimir), je vis en Belgique et suis toujours resté en contact avec Natacha.


Je sais que ma question peut paraître parfaitement stupide, et froide au premier coup d'œil, mais elle as un sens, et un but, à savoir te sortir une part de ta douleur et ressusciter une partie de ta sœur : son souvenir !

Elle n'est plus là, mais son souvenir, lui, est toujours présent, alors ravive-le !

Tu as fait une vidéo sur sa mort : fais-en une sur sa vie !!

Parle nous d'elle, de ses projets, de ce qu'elle aimait, de CEUX qu'elle aimait, de comment elle est tombé dans ce piège, et de combien elle vous manque à présent.

Ceci pour qu'on sache qui elle était, quelle place elle avait dans la vie, dans VOS vies !
Et que JAMAIS elle ne devienne la simple jeune victime de plus de la folie meurtrière d'un malade !!

Elle mérite surement mieux, et toi, comme tous ceux qui l'aimaient, également !

J'ignore comment tu vas prendre cette lettre, ni si mon appréciation de la relation qui te liais à ta sœur est juste (après tout : vous étiez peut-être plus en contact que les journaux ne l'ont laissé entendre), mais je te la rédige quand même, au risque de passer pour un ''je sais-tout-bien-pensant'', car j'ai la certitude que c'est une bonne idée, qu'elle vous soulagera, un peu, de la douleur qui est la votre, qu'elle servira bien ton combat pour plus de justice dans cette histoire, et qu'elle fera du bien à la mémoire de ta sœur !

grduc : Nous étions effectivement plus en contact que ce que les journaux ont laissé entendre; faut dire que certaines personnes ont essayé de faire croire que nous avions abandonné Natacha et que c'est pour ça qu'elle est tombée dans les bras du premier venu (avant l'identification de l'assassin, ces mêmes personnes ont prétendu que c'est notre père qui avait tué sa fille).

On sait maintenant qu'on ne l'avait jamais abandonnée et qu'elle n'est pas tombée dans les bras du premier venu, mais qu'elle est tombée dans un effroyable piège tendu par un pervers de la pire espèce. On sait aussi que c'est la psychologue de l'école qui a "jeté" Natacha dans les filets de Patrick James ( en toute bonne foi, parait-il ).


J'apprécie tes voeux de réconfort et je prends très bien cette lettre, mais personne dans ma famille ne se remet encore et nous avons donc du mal à ne pas ressentir de la haine envers Patrick James.

Quant à parler de la vie de Natacha, oui on devrait en parler... après le deuil.

09 août 2008

Patrick James récidiviste ?

Je n'ai rien écrit sur ce blog depuis plus d'un mois pour une simple raison : ayant appris qu'une des premières concubines de Patrick James est portée disparue, je me suis mis à creuser (pas seulement les méninges). Mais par manque de moyens, je renonce à chercher moi même.

Si un brave lecteur de ce blog a des nouvelles d'une certaine Sophie, ancienne concubine du pervers sexuel et assassin Patrick James, qu'il donne les infos aux autorités.

Pour des raisons techniques de justice, nous n'avons pas le droit de la faire rechercher officiellement. Officieusement et malgré mes efforts, je ne sais pas encore où elle est enterrée.

Le titre de cet article veut tout dire : je crois fermement que cette fameuse Sophie est enterrée et pas de façon orthodoxe.

01 juillet 2008

Triste anniversaire (2)

Aujourd'hui' 2 ans après, jour pour jour, Natacha a été découverte à l'état de cadavre dans la forêt de Soignes.

J'avais aussi préparé un petit texte à publier, mais à la place je dis ceci : Crève James, va te faire pendre !!

26 juin 2008

Triste anniversaire.

Ce jeudi 26 juin, Natacha aurait eu 22 ans.

J'avais préparé un petit texte à publier aujourd'hui mais je renonce, elle ne peut quand même pas le lire.

18 juin 2008

La justice en travaux.



Travaux à la justice. Essayerait-on de l'améliorer?

Dernier jour du procès.



Cette dernière journée de procès commence par une manoeuvre de la défense qui consiste à renoncer à plaider sur la culpabilité de l'accusé. Manoeuvre fort habile puisqu'elle nous empêche de répliquer, laissant libre cours à la défense qui pourra donc dire ce qu'elle veut lors du débat sur la peine, nous laissant sans voix au propre comme au figuré.

Vient donc la première délibération des jurés sur la culpabilité de Patrick James. Pas de surprise, c'est oui pour les deux questions portant sur le crime et la préméditation.

Il reste donc aux trois avocats de l'accusé à plaider sur la peine, et nos avocats n'ayant plus le droit à la parole, nous avons droit à quelques insanités de leur part. Quand on vous dit que les victimes sont respectées en Belgique, il faut le croire. Une des avocats de l'accusé plaide : L'amour s'apprend et James ne sait pas ce que c'est l'amour.

La haine s'apprend aussi et en matière de haine, Patrick James nous a donné quelques leçons.


Nous avons maintenant un point commun avec Patrick James, nous avons gagné le procès. Nous parce qu'on voulait le faire reconnaitre comme étant un pervers dangereux et un assassin (de ce côté, nous sommes satisfaits), James, lui, a gagné le procès parce que la peine est ridicule au regard des faits et il pense certainement déjà à sa prochaine victime.

Il a été demandé à James de suivre une longue thérapie pour lutter contre sa perversité, ça me rappelle vaguement quelque chose ça.

Natacha, elle, est morte une seconde fois, sa mémoire n'a pas été respectée.

Vive la Belgique.

17 juin 2008

James et nous, la famille, avons gagné le procès, la justice a perdu.

Patrick James, violeur et assassin (vérité judiciaire) est condamné à une peine de 21 ans de prison. Par cet arrêt, James est bien reconnu comme étant un violeur et un assassin. Personne ne le conteste. L'avocat général ayant requis 25 ans de prison, les jurés ont décidé qu'il ne serait condamné qu'à 21 ans de prison retenant comme circonstance atténuante, le fait qu'il n'avait pas de casier judiciaire.

Par ce jugement, que James a reçu comme du pain bénit, nous avons assisté à la naissance d'un récidiviste. Seul l'avenir nous le dira, bien sûr, mais le jour de la récidive je serai là pour signaler que j'avais prévenu.

Messieurs les pervers, ne prenez pas ce jugement comme un signal pour vous mettre à violer chaque gamine que vous croiserez, je vous préviens que, en règle générale, les viols suivis d'assassinat sont punis plus sévèrement.

Pour nous rassurer, on nous dit que c'est la peine la plus sévère prononcée cette année dans l'arrondissement de Bruxelles. C'était quoi les crimes d'avant, cette année?

Nous étions venus le plus calmement possible au procès, faisant confiance à la justice. Je ne le regrette pas, malgré les insultes sur Natacha que nous avons été contraint d'écouter. Je ne regrette, en fait, qu'une seule chose : Nous sommes en Belgique et pas dans un pays démocratique qui punit des violeurs ou assassins, ou les deux dans ce cas-ci.

Patrick James se frotte les mains, sa manipulation du procès ayant réussi (ce mec est un as, je l'admire pour ça), il s'en sort avec uniquement un incident de parcours que constitue son petit séjour en prison. Attention, fillettes, un jour il sortira, très bientôt. Gardez les jambes serrées.

Quant à la justice belge, quand j'aurai besoin d'elle, je me rendrai utile : je ne l'appellerai pas.

Mais il est vrai que dans une société où on nous dit : si une simple ruse pour coucher constitue un viol, on devrait poursuivre des millions de gens. Alors cette société ne sera constituée que de femmes violées, et on se demande donc qui représentera le peuple pour le défendre. Nous sommes donc tous des fils de putes???


P.S. Je suis déçu de l'issue du procès. Vous l'avez remarqué ?

Suite des plaidoiries.

Ce lundi matin, 16 juin, commence fort avec la plaidoirie de maître Niamke qui s'attache à démontrer la perversité inouïe de Patrick James, que ce soit par les nombreux mails, sous différentes identités, que James envoyait à Natacha pour se l'approprier toujours un peu plus et aussi pour la convaincre de respecter cette loi du silence, la loi du silence de Patrick James; loi du silence qui permet d'abuser impunément d'une jeune fille naïve, mais aussi par le comportement de James après le crime lorsque James commence à se forger un alibi par ses divers coups de téléphone à Natacha et à sa famille et connaissances. James laisse un message sur le répondeur de Natacha quelques minutes après le crime : Tu as l'amour en tête, mais donne quand même de tes nouvelles. A ce moment là, il venait de fracasser le crâne de Natacha...

Suit la plaidoirie de maître De Quévy qui démontre, textes de loi à l'appui, que si Natacha était venue le consulter pour se plaindre de ces viols, Patrick James aurait pu subir une très lourde condamnation et serait classé dans les pires pervers sexuels, pour la durée et pour l'intensité de sa perversité.

Il s'en est d'ailleurs fallu de peu, comme le dit ce brillant avocat : à quelques jours près, après la consultation du 3 juillet chez le gynécologue (Natacha fut massacrée trois jours avant), il est probable que Natacha s'en serait remise à l'avis d'un avocat. Mais James avait planifié l'assassinat de Natacha et certainement aussi celui de F. le seul garçon qui ait apporté de l'amour et une véritable attention à Natacha.

Maître Gallant est la dernière à plaider pour une des parties civiles et c'est le coup de grâce pour l'assassin. La préméditation ne fait plus aucun doute. Une démonstration claire, nette et précise sur les agissements de Patrick James. James a bel et bien prémédité l'assassinat de Natacha, les viols et son alibi.

Je ne sais pas si on dit réquisitoire ou plaidoirie pour l'avocat général, mais quoi qu'il en soit, il a démontré, s'il fallait encore le démontrer, que James est un dangereux pervers de la pire espèce.

Nous attendons avec impatience, ce mardi 17, les plaidoiries de la défense. L'accusé, pourtant représenté par de brillants avocats, aura bien du mal à se sortir d'une situation dans laquelle il s'est mis lui même.

A moins d'un coup de génie de la part de ses avocats, je ne vois pas comment James pourrait échapper à la peine la plus lourde.


14 juin 2008

Les plaidoiries commencent.

Vendredi, cinquième jour du procès.
La journée commence par des témoins de moralité de Patrick James. Quatre gardiens de prison viennent témoigner du fait que James se conduit bien en prison, qu'il travaille à la cuisine de la prison et son comportement est exemplaire.
Je ne peux m'empêcher de penser que James se conduit forcément bien en prison. D'abord parce qu'il a l'habitude de manipuler son entourage; et ensuite parce qu'il n'y a pas de gamines à violer en prison.
Suit la plaidoirie de maître De Cléty qui commence par les mots "Herpès, herpès, herpès mon amour", et qui insiste pour regarder le pervers droit dans les yeux quand il lui dit quelques vérités bien senties. James a un regard sournois que je traduis par : "cause toujours". C'est le seul moment où James a levé la tête, sinon quand quelque chose se dit de James, il regarde invariablement ses chaussures.
Je trouve d'ailleurs dommage qu'on ne puisse obliger un salaud à regarder les horreurs qu'il a commises. Nous avons visionné les photos de la découverte du corps, les photos du visage abimé de Natacha ou plutôt la moitié de visage qu'il lui restait, les photos de l'autopsie (là je me suis senti mal, et je suis sorti), mais le pervers assassin, lui regardait ses chaussures et en règle générale il regarde ses chaussures dès que quelque chose lui déplait.
Une belle démonstration de maître De Cléty qui prouve, avec l'aide d'une canne de marche normale, que James ne pouvait pas avoir son bâton par hasard le soir du crime.
Vers la fin de cette première plaidoirie, maître De Cléty rend un tel hommage à Natacha que nous en avons les larmes aux yeux.
Suit la plaidoirie de maître Antioco qui démonte un à un tous les mensonges de James. Très brillant, il démontre que le crime de James fut méthodique et tentaculaire pour Natacha.
Reprise des plaidoiries ce lundi 16 juin 2008.

12 juin 2008

Un deuxième assassinat ?

Dans ce qui ressort des enquêtes téléphoniques avant et après l'assassinat de Natacha, Patrick James, le lendemain du crime, a téléphoné à plusieurs reprises à F. (le seul garçon que Natacha ait aimé). Dans ses divers coups de fil, il essaye de persuader F. de l'accompagner pour rechercher Natacha qui est signalée disparue à ce moment là, mais James sait très bien qu'elle est bien morte, puisqu'il est allé le matin même pour s'assurer qu'elle ne vivait plus et l'achever si besoin en était, d'après ses aveux.

Je rappelle que James était avec ses deux petites filles, de très jeune âge, lorsqu'il va s'assurer que Natacha ne vit plus. Alors, imaginez ce monstre sans coeur achevant de tuer Natacha avec ses deux gamines à quelques mètres de là.

Alors pourquoi tenait-il absolument à ce que F. vienne avec lui pour rechercher Natacha ?!?!

Poser la question c'est y répondre, il voulait aussi éliminer F.

Natacha avait un rendez-vous chez un gynécologue.

Au cours de cette troisième journée de procès, nous apprenons que Natacha avait un rendez-vous chez un gynécologue le 3 juillet, soit trois jours après sa mort. Un petit mot griffoné par elle le prouve aussi.

Elle n'avait jamais vu un gynécologue de sa vie, ce rendez-vous aurait été le premier.

Natacha voulait se rendre, un jour, au Canada. Mais Patrick James lui faisait croire depuis des années que si elle allait voir un médecin pour son herpès, elle serait fichée internationalement et donc elle ne pourrait jamais aller au Canada, puisque ce pays refuse l'entrée aux personnes porteuses de m.s.t. C'est ce que James a réussi à faire croire à Natacha.

Il ressort du procès que Natacha semblait avoir pris conscience, dans ses derniers jours, de la supercherie dont elle fut victime. Ca explique donc ce rendez-vous chez un gynécologue et ça donne une raison de plus à James d'éliminer Natacha. James a reconnu qu'il fouillait régulièrement le sac de Natacha pour connaître ses rendez-vous.

Ceci explique cela.

Troisième journée du procès.

Au cours de cette troisième journée, nous entendons divers témoins, dont des proches de Natacha et de Patrick James.

Deux témoignages m'ont particulièrement marqué :

D'abord, M. la meilleure amie de Natacha, presque sa soeur dit-elle. J'ai eu l'horrible impression que Natacha ne faisait pas partie de ses préoccupations, j'ai eu l'impression terrible que son témoignage ne reflétait pas la vérité.

J'apprends qu'elle savait de la bouche de Patrick James que Natacha subissait cette étrange thérapie du sexe. Je suis surpris de constater qu'elle est aussi naïve que Natacha pour avoir cru qu'il fallait du sexe pour guérir une maladie. Je sors de la salle jusqu'à la fin de son témoignage, je n'en pouvais plus de ressentir une certaine trahison envers Natacha.

Le deuxième témoignage qui m'a marqué est celui de F. le seul garçon que Natacha ait aimé, le garçon le plus honnête qui soit. Nous entendons un témoignage hors du commun, plein d'émotion qui ne reflète que la sincérité et la vérité.

Nous en avons les larmes aux yeux.

Un avocat se lève à la fin de son témoignage pour faire un commentaire : J'ai vu des milliers de témoins dans ma carrière, mais c'est la première fois que je vois un témoin de cette qualité, qui a pu parler sans haine et sans crainte et dans une grande dignité.

Personnellement F., je te remercie d'avoir connu Natacha, les seuls moments de bonheur qu'elle a vécus, c'était avec toi.

Au cours de cette troisième journée, Patrick James regarde enfin vers nous, je peux voir ses yeux. Mais lui ne nous regarde pas, il regarde la meilleure amie de Natacha qui se trouve dans l'axe, impressionnant un peu plus cette jeune fille qui a du mal à dire la vérité. Je comprends mieux pourquoi elle ne voulait pas venir témoigner, la présidente envoyant un policier pour la faire venir quand même.

James continue à manipuler son monde.

J'apporte cette précision afin qu'il n'y ait pas de litige : Par cet article, j'entends démontrer que M. est gênée d'apporter son témoignage. Elle avait d'abord refusé de témoigner, et quand elle nous livre son témoignage, James la fixe pratiquement du regard, et je suppose que c'est pour l'intimider, pas pour la soutenir. Ce sont mes impressions que je décris plus haut et ce n'est pas une affirmation. Mais je peux affirmer avec une grande certitude que j'ai eu l'impression (ça reste une impression) que la vérité n'est pas sortie. Le débat est clos pour moi, concernant mes impressions sur ce témoignage. Dimrost, si tu as d'autres éléments à apporter, je ne comprend pas que tu ne les apportes pas à la cour d'assises.

Il est revenu pour l'achever.

Dans un article précédent, j'écrivais que j'étais persuadé que Patrick James était revenu le lendemain du crime pour enterrer Natacha et non pas pour la soigner au cas où elle vivrait encore, comme lui le prétendait. Je m'étais trompé, mais de peu.

Au cours de cette deuxième journée de procès, interrogé de manière fort habile, Patrick James fera un aveu qui nous étonne à peine : C'est vrai que je suis revenu le lendemain du crime pour achever Natacha si elle vivait encore et non pas pour la soigner.

Au cours de cette deuxième journée, on projette les photos de la découverte du cadavre, on écoute les messages que James avait envoyé sur le portable de Natacha pour commencer à se forger un alibi. On visionne également la vidéo du métro où on voit James attendre 18 minutes sur le quai avant d'emmener Natacha vers son sinistre destin. On écoute également divers messages de James imitant diverses personnes qui persuadent Natacha de ne pas quitter "Patrick" mais de coucher le plus souvent possible avec lui, sinon tu souffriras de cécité, de stérilité et d'autres horreurs du même genre.

Patrick James, lui, a ciré ses chaussures de son regard presque toute la journée.

Et durant cette deuxième journée, James ne regarde toujours pas vers nous, pas moyen de croiser son regard.

Patrick James minable.

Ce premier jour de procès ne me donne qu'une impression de l'accusé : minable.

Avant même de répondre à la première question de la présidente de la cour, Patrick James demande à faire une déclaration : Je sais que c'est difficile pour la famille de Natacha, je ne leur demande pas de me pardonner mais je demande pardon. Je ne sais pas pour les autres membres de ma famille, mais pour ma part, s'il ne me demande pas de lui pardonner, je ne risque pas de lui répondre.

Cette déclaration, il la répètera vers la fin de son interrogatoire.

Au cours de ce premier interrogatoire, il reconnait qu'il a bien violé Natacha durant des années, usant de manipulations, de chantage, de menaces etc... Ces aveux à la cour d'assises ne sont pas une surprise pour nous, puisque nous savions qu'il les avait déjà fait au cours de l'instruction.

Nous apprenons quand même des détails horribles quant à sa manière de "soigner" Natacha.

Il faisait donc croire à Natacha qu'elle souffrait d'un herpès génital et que la seule façon de guérir était de pratiquer des fellations, des sodomies et autres horreurs que Patrick James
aimait certainement faire avec des très très jeunes gamines. Je signale que Natacha était vierge avant de connaitre ce pervers.

On peut penser que Natacha était naïve, c'était le cas. Mais je signale que Patrick James est un champion de la manipulation. Plusieurs personnes, dont la meilleure amie de Natacha, ont complètement cru à cette prétendue thérapie sexuelle.

On apprend aussi que le premier bâton de James se casse lorsqu'il porte les coups sur la tête de Natacha, lui cassant d'ailleurs des doigts puisqu'elle essaye de se protéger (et j'imagine qu'elle crie : Arrête Patrick, s'il te plait arrête, non s'il te plait) le premier bâton cassé ne le freine pas, il en ramasse un autre, plus gros; à ce moment, Natacha est par terre et lui continue à la frapper exclusivement à la tête, lui arrachant une partie du crâne.


Encore au cours de ce premier interrogatoire, Patrick James perdu dans ses mensonges et en très mauvaise posture est sauvé par son avocat qui coupant la présidente, demande une suspension d'audience sous le prétexte que les jurés sont fatigués.

Un petit débat s'organise et même si les jurés n'ont pas l'air fatigués du tout, on décide d'une suspension bénéfique à Patrick James puisqu'à la reprise de l'interrogatoire, il ne se souvient pratiquement plus de rien.

Au cours de cette première journée, James n'a pas regardé une seule fois vers nous.

29 avril 2008

Euthanasie pour les pédophiles.

Pour les salauds qui prétendent que la pédophilie est une terrible maladie et qui prétendent en souffrir, je me demande s'il ne serait pas plus sage de leur accorder le droit à l'euthanasie.

Après tout, ce serait une solution pour les enfants et pour les pédophiles qui se prétendent victimes de cette pseudo maladie. Veulent quand même pas qu'on leur donne de l'aspirine pour se prétendre guéris ?

Bien sûr, ce serait faire preuve d'humanité envers ces pédophiles qui ne méritent pas la moindre considération, mais si ça peut nous en débarrasser, je suis pour.

La justice est tellement clémente envers ces pédophiles qu'elle pourrait aussi leur accorder le droit à l'euthanasie.

Et vive la Belgique.

Cinq ans de prison pour viols commis dans une ambulance

Le tribunal correctionnel de Bruges a condamné lundi un homme de 24 ans, originaire d'Oudenburg, à 5 ans de prison avec sursis probatoire pour ce qui excède la détention préventive, et à 5 ans de retrait de ses droits civils. L'homme a été reconnu coupable d'attentats à la pudeur, viols, menaces, coups et blessures commis à l'encontre de jeunes filles mineures d'âge.

Le prévenu travaillait pour une société privée d'ambulances en 2007 lorsqu'il a abusé de jeunes filles lors de transferts vers des hôpitaux. Le tribunal l'a acquitté pour certains faits. L'homme devra payer 12.600 euros de dédommagements aux parties civiles. L'homme a été remis en liberté. (belga/7sur7)
28/04/08 13h59

Encore des victimes qui n'ont pas eu droit à la clémence contrairement à leur agresseur.

L'agresseur est déjà libre. A l'heure où j'écris ces lignes, il a déjà peut-être fait de nouvelles victimes.

Vive la Belgique quand même.

24 avril 2008

Natacha à 15 ans



Voici à quoi ressemblait Natacha quand Patrick James a commencé à la violer. Ces photos ont été trouvées chez Patrick James lors de son arrestation. Il y avait également une photo de Natacha nue dans son bain quand elle était bébé, je ne publierai pas celle là. Patrick James est un pédophile, c'est clair pour moi.

23 avril 2008

Trente ans d'inceste, sept ans de prison

Source : D.H.

(23/04/2008)

Il abusait de ses trois filles et de sa petite-fille sous les yeux de sa femme

CHARLEROI C'est en 1975, dans sa maison de Couillet, que Jean-Pierre D. a débuté son horrible voyage. Durant 30 ans, ce père pervers a abusé de ses trois filles sous les yeux de son épouse, Nicole B. Edwige (les prénoms sont d'emprunt), l'aînée, a été violée dès 8 ans lors d'une séance de chatouilles au cours de laquelle sa maman lui tenait les mains. À 12 ans, elle tombait enceinte. Sarah a subi ce sort, obligée dès 10 ans à se laisser raser le sexe par son père. Enfin, Dorothée a enduré les premiers outrages à 4 ans. Pour elle, les pénétrations digitales étaient quotidiennes. "Comme s'il disait bonjour".

Terrorisées, les soeurs ne parlaient pas entre elles. La loi du silence a régné jusqu'en 2005, lorsque Jean-Pierre D. s'en est pris à sa petite-fille, qui a eu le courage de tout dévoiler au grand jour.

Les victimes auraient souhaité un procès d'assises, mais des circonstances atténuantes ont amené la correctionnalisation. Qui plus est, les viols étaient prescrits pour les deux filles aînées.

Hier, le tribunal a souligné le mépris de Jean-Pierre D. pour le développement psychoaffectif de ses filles dont il pouvait apprécier quotidiennement la souffrance. Lui qui, en 2008, trouvait encore sa situation familiale "harmonieuse"...

Le prévenu avait fait de ses filles ses choses, ne les considérant pas comme des personnes indépendantes.

Son absence d'antécédents et le fait qu'il ait lui aussi été violé étant enfant ont été retenus comme circonstances atténuantes. En ce qui concerne Nicole B., poursuivie pour non-assistance, le tribunal n'a pu que constater son "silence assourdissant", le père pervers écope de 7 ans de prison, la mère de deux ans avec sursis pour la moitié. Le parquet avait requis 20 et 8 ans.



F. D.

© La Dernière Heure 2008


Je gagnerai à tous les coups si je parie qu'il fera encore des victimes.

Vive la Belgique.

10 avril 2008

Deux ans de prison pour abus sexuels sur une fillette

Source : 7sur7.

Le tribunal correctionnel de Bruxelles a condamné jeudi Pascal U., 66 ans, à 2 ans de prison ferme pour des attentats à la pudeur commis avec violences sur une enfant âgée de 8 ans, au moment des premiers abus. Ceux-ci se sont déroulés à Bruxelles, entre le 31 décembre 2001 et le 1er janvier 2004.

Le prévenu est connu des cours et tribunaux pour des faits de moeurs depuis 1964. Les faits du présent dossier sont relatifs à la fille d'une de ses anciennes amies qui était placée dans un home et qu'il rencontrait souvent seul, chez lui. La victime avait d'abord expliqué à la directrice de son home qu'un homme l'avait embrassée sur la bouche et celle-ci en informa sa mère qui décida de ne plus laisser la victime seule chez Pascal U.

Plus tard, l'enfant donnera beaucoup plus de détails à sa mère et révèlera qu'elle avait subi des abus beaucoup plus graves qu'elle ne l'avait dit. Ceux-ci se sont encore déroulés au domicile du repris de justice, pendant que la mère de la victime était dans une autre pièce.

L'intéressé a toujours nié les faits mais le tribunal a constaté que la fillette a fourni des informations trop détaillées pour qu'elles soient inventées, qu'elle n'avait pas exagéré dans ses déclarations, qu'elle n'avait pas essayé de le charger et que l'expert psychologue qui l'a rencontrée a conclu qu'elle était crédible. Par ailleurs, les nombreuses condamnations du prévenu, qu'il remet encore en cause et le rapport psychiatrique très défavorable ont convaincu les juges de prononcer une peine de prison ferme. Pascal U. devra verser 2.350 euros à la victime. (belga/7sur7)


La Belgique : paradis des pervers. Ce pervers est récidiviste. Il a violé cette jeune fille durant plus de deux ans et il s'en sort avec une condamnation de 2 ans.

2 ans de prison qu'il ne fera pas en entier : n'oublions pas qu'on est en Belgique.

09 avril 2008

Cédrika Provencher



Faire suivre, c'est pas grand-chose à faire mais c'est augmenter les chances d'un dénouement.

http://www.dailymotion.com/relevance/search/cedrika/video/x2vrls_disparition-cedrika-provencher-10-a


Site officiel de Cédrika : http://www.cedrikaprovencher.com/

01 avril 2008

Nouvelle loi.

La Belgique a enfin voté une nouvelle loi pour des peines incompressibles visant à laisser les pédophiles et autres violeurs d'enfants terminer leurs jours en prison.

Les retombées de cette nouvelle loi sont faciles à prévoir : moins d'enfants violés, des victimes qui n'auront plus peur de porter plainte, des violeurs qui réfléchiront à deux fois avant de passer à l'acte, les citoyens qui retrouvent une certaine confiance en la justice, etc...

J'aurais pu encore écrire des dizaines de lignes concernant une pareille bonne nouvelle, mais je dois quand même juste vous rappeler la date à laquelle j'écris ce mot : 1 avril 2008.

On finira de manger tous les poissons des océans avant qu'une pareille loi ne soit votée... Désolé.

31 mars 2008

Source : www.viol-off.net

Le Code Pénal Belge définit le viol comme : « Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit et par quelque moyen que ce soit, commis sur une personne qui n’y consent pas par violence, contrainte, menace ou surprise ».

Le viol est un acte, une pénétration sexuelle imposée, par une contrainte physique ou psychologique.

Le viol est en droit pénal belge un crime passible de la cours d’assise.

26 mars 2008

La souffrance de Natacha

Reproduit tel quel sans correction.


Ma souffrance

Je te chuchote à peine ces mots pour qu'elle ne puisse m'entendre ...

Mon corps, parfois, se déchire
et laisse échapper ainsi, des larmes immensurables. Oui, tant de fois j'ai pleuré
que j'en suis vidé ...

Ces paroles me percutent, rebondissent sans cesse dans mon esprit.
Cette peur s'impose en moi, je ne parviens pas à la semer, elle est si intense ...

J'aimerai sombrer dans l'inconscience ...

Les parois de mes pensées sont imbibées de pourpre : on me les a souillées, je ne peux plus rien
pour les effacer. ..

Comment la traverser sans qu'elle vous implose ses coups, éviter ses épines sans même y laisser sa peau ?

Elle me guette, me poursuit lorsque je dors ...

Seule la musique m'enivre, crée des étincelles de joie, remonte en moi ce qui reste de beau.
Elle parcourt mes veines et palpite mon cœur à ses rythmes. Dédouble en moi ce qui est intouchable ...
Libère, ce que je ne parviens pas à sortir
de mes profondeurs ...

Par ses caresses, me crée un champ de plaisir pour te protéger, ton corps et ton âme ...

Je me jette à l'ombre de mes rêves pour y rechercher ta lumière.
Seul, dans cet état là, je peux te retrouver.
Ma conscience est alors aussi claire et pure que du cristal.

Il m'arrive de me perdre dans tes visions
celles d'un univers chaotique où empeste l'agonie et traînent des flaques de sang noir.
Ne te laisse pas envoûter par ses ondes floues ...

Mon corps est loin de toi
mais mon esprit veille et perçoit tes prières. Si tu te perds, à l'heure du jour qui naît
la lune est notre repère ...


Natacha Karlowski



Encore des phrases qui démontrent qu'elle n'avait pas une vie normale.

24 mars 2008

Palais de justice de Bruxelles (2)





Quand il pleut sur le citoyen, la justice se devine à peine... au loin

23 mars 2008

Palais de justice de Bruxelles (1)




Dans le noir, la justice semble apporter de la lumière.

Natacha parle de viols et de la mort.




Pour ceux qui doutent encore que Natacha était victime de viols répétés, voici un mot trouvé dans les affaires de Natacha.

Ce mot s'est déjà trouvé dans les mains des enquêteurs





Fouiller dans un passé qui n'est pas le nôtre...
Creuser le chemin que nos ancêtres ont mené...
Les images, les viols se répercutent dans mon esprit
et sans cesse se répetent.
L'angoisse, la peur de la souffrance et de la mort y jaillissent.
En prendre conscience reste la seule chose à faire...


Quelqu'un a-t-il encore un doute sur les viols répétés dont Natacha a été victime ?
Je précise que Natacha avait entre 16 et 20 ans quand elle a écrit ce mot.
La peur de la souffrance et de la mort. Maintenant, je suis encore plus certain qu'elle a subi des choses horribles.

22 mars 2008

Dernier parcours de Natacha




Quand Patrick James "embarque" Natacha à la station de métro Shuman, il connait certainement déjà le parcours à emprunter pour se rendre dans ce petit coin de la forêt de Soignes.

Puisqu'il avait préparé l'arme du crime ( un bâton ), il avait sûrement aussi préparé l'itinéraire pour emmener Natacha sans lui laisser de chance de s'échapper.

Et l'itinéraire est idéal pour rouler 6 kilomètres sans marquer d'arrêt, jusqu'à ce parking de la forêt (voir plan "dernier parcours de Natacha"). Sur ce parcours, il y a quelques feux de circulation tellement visibles de loin, le parcours étant une grande avenue, qu'il est très facile d'adapter sa vitesse pour ne pas devoir s'arrêter.

Evidemment on comprend vite l'avantage pour le tueur : Natacha n'aurait certainement pas sauté en marche et de plus, d'après ce que j'en sais, la voiture du salaud avait un verrouillage centralisé qui aurait certainement empêché Natacha de sauter en marche même si elle l'avait voulu.

J'ai fait six fois ce parcours, à peu près à l'heure où le tueur l'avait fait quand il a "embarqué" Natacha. J'ai six fois réussi à ne jamais m'arrêter jusqu'au parking et je n'ai pratiquement pas roulé sous les 40 km/h. Le trajet fait un peu plus de 6 kilomètres.

Ce que je veux démontrer n'a peut-être pas valeur de preuve, mais ceux qui essaient de me faire croire que Natacha a volontairement suivi son assassin se trompent ou me trompent lourdement.

07 mars 2008

Un petit message trouvé dans les affaires de Natacha















Est-ce qu'un jour on trouvera la paix dans ce monde ?

Personne ne sait, en tout cas il faudrait un miracle; et le miracle c'est nous !

Nat

29 février 2008

Un an de prison pour viol sur une adolescente

Le tribunal correctionnel de Tongres a condamné jeudi un habitant de Maasmechelen âgé de 28 ans à un an de prison ferme pour attentat à la pudeur sur une jeune fille âgée de 15 ans. Le prévenu a également été déchu de ses droits civils pour une période de dix ans.

Bien qu'il n'y ait aucune preuve que l'homme ait forcé la jeune fille à avoir des relations sexuelles avec lui, le juge a estimé qu'il y avait bien eu viol car selon la loi belge une adolescente de 15 ans ne peut pas officiellement donner son accord pour une pénétration sexuelle.

Les faits se sont produits à plusieurs reprises, entre autres en juin et septembre 2004 à Lanaken et Dilsen-Stokkem. La jeune fille avait à l'époque quinze ans à peine et le prévenu était âgé de 25 ans. Il a expliqué qu'il ne savait pas qu'elle n'avait que 15 ans, mais le juge ne l'a pas cru.

Plusieurs témoins ont en outre déclaré que la jeune fille était en pleurs, angoissée et déconcertée lorsqu'elle sortait de la voiture du prévenu, en septembre 2004. L'homme n'ayant pas l'air, selon le juge, de réaliser que ce qu'il a fait est mal, le tribunal a dès lors ordonné son arrestation immédiate.
(belga/7sur7)


Et en avant, encore un pervers qui aime les petites filles. Celui là ne devrait pas faire plus de 6 mois de prison et on fera semblant de s'étonner quand il recommencera.

Vive la Belgique

28 février 2008

Clémence mal placée

28/02/2008 Dernière heure

Elle a passé une nuit horrible : le pervers, père de quatre enfants, a multiplié les attouchements

BRUXELLES Elle était venue passer la nuit chez sa meilleure amie. Dans sa maison. Alors que la soirée s'était très bien passée, en compagnie des parents de la copine, les deux jeunes filles s'étaient rendues dans leurs chambres respectives.

Plus tard dans la nuit, pendant que l'épouse du pervers était dans les bras de Morphée, l'homme s'est discrètement rendu dans la chambre de la copine de sa fille où il a pu la surprendre dans son sommeil.

À plusieurs reprises, il a ainsi commis des attouchements sur la jeune fille, encore mineure au moment des faits.

C'est finalement à l'arrivée de la fille du prévenu que les abus ont cessé.

Dénoncé à la police, l'homme a dû expliquer ses faits et gestes. Il a rapidement reconnu ce qu'on lui reprochait.

Mais ce n'est pas tout. Également entendue par la police, sa propre fille a également affirmé avoir été victime d'attouchements commis par son papa. Et le dossier révèle que le pervers est père de quatre enfants.

La clémence pour ne pas entraver son avenir

Devant le tribunal, l'homme a maintenu ses aveux et a demandé pardon aux victimes, affirmant qu'il ne savait pas pourquoi il avait commis de tels faits et qu'il était prêt à être suivi sur le plan thérapeutique pour ne pas récidiver.

Compte tenu du dossier, le tribunal correctionnel de Bruxelles a reconnu l'homme coupable des faits qui lui étaient reprochés mais a décidé de prononcer une simple déclaration de culpabilité afin de ne pas entraver son avenir professionnel et sa vie familiale.


On croit vivre sur une autre planète. Une simple déclaration de culpabilité afin de ne pas entraver son avenir.

Et l'avenir des enfants dans tout ça ? Qui s'en soucie. Cet homme est un futur récidiviste, c'est certain. Aucun plan thérapeutique ne pourra protéger ses futures victimes.

Dans ses prochains faits, cet homme ira plus loin, sera plus violent, cachera mieux ses méfaits et on dira que c'est un malade et qu'il faut le soigner.

De qui se moque t-on ? Voilà qu'on encourage des futurs violeurs, c'est une honte pour notre pays, une honte de plus, aucune affaire sordide belge ne sert donc de leçon ?







26 février 2008

Statistiques faussées

On apprend que la police belge fausse des statistiques pour respecter les quotas de contrôle, par manque d'agents de contrôle et de moyens.

Je ne savais même pas qu'il y avait des quotas.

Y a t-il aussi des statistiques sur les viols commis en Belgique ? Si oui et s'il y a des quotas pour arrêter un nombre déterminé de violeurs, les juges ont-ils encore l'envie et les moyens de poursuivre des violeurs quand les quotas sont respectés ?

En tout cas, les vraies statistiques démontrent qu'il y a de plus en plus de viols et de moins en moins de condamnations.

Vive la Belgique.


24 février 2008

Encore une victime de pervers

http://detruiteajamais.skyrock.com/


Témoignage d'une victime de pervers. Elle n'a que ce blog pour témoigner de ce qu'elle a subi.

La justice au Canada, comme en Belgique et bien d'autres pays ne semble décidément pas se préoccuper des victimes et les pervers ont la belle vie.

19 février 2008

Patrick James
















Déposition de la maman de Patrick James : Mon fils est un salaud et un manipulateur. Voilà le personnage résumé.

15 février 2008

Pas de procès en vue

A la date de cet article, nous ne connaissons toujours pas la date du procès.

L'instruction s'est, parait-il terminée en un temps record, mais y a-t-il une tentative de battre le record de la détention préventive??

Vont-ils libérer le salaud sous prétexte qu'il n'a pas été jugé dans un délai raisonnable??

Après, on s'étonnera que peu de gens font confiance à la justice.

13 février 2008

Pétition pour des peines incompressibles

Parce que je crois sincèrement que les Belges en ont marre des assassins d'enfants, des violeurs et autres salauds qui se retrouvent en liberté avant même, souvent, que les familles de victimes ne soient remis de leurs émotions.


Parce qu'un violeur ou un assassin a toujours une chance de se réinsérer, alors que les victimes ou leurs famille sont condamnées à perpétuité.

Parce que les récidives sont dues à des libérations conditionnelles.

Parce que Natacha serait toujours en vie si l'assassin savait qu'il existait des peines incompressibles.

Je lance une pétition pour avoir des vraies peines de prison incompressibles pour les violeurs et les assassins.

Et s'il manque des cellules, qu'on en crée. Construire une cellule coûte moins cher qu'une nouvelle douche dans un cabinet ministériel.

12 février 2008

6 ans de prison pour pédophilie

Il semblerait que les pédophiles aient la belle vie en Belgique.

Le procureur requiert 6 ans de prison contre le couple pédophile (voir la Dernière Heure) qui attiraient des enfants dans son lit. Quand on sait à quelle vitesse les délinquants sexuels sont libérés grâce à la conditionnelle, on a le droit de se poser des questions.

A Bruges, un pédophile a été condamné à 6 ans de prison (voir 7 sur 7) pour avoir violé des enfants pendant 10 ans. On a aussi le droit de se poser des questions. Pour ma part, je désespère d'avoir des réponses.

Quand on connait les chiffres des récidives concernant les affaires de pédophilie, on peut penser que la justice est coupable de non assistance à personnes en danger, pour ne pas dire enfants en danger.

10 février 2008

Le tortionnaire de Natasha Kampusch

Le ravisseur de Natasha Kampush suicidé, c'est une manière d'échapper à la justice.

Le ravisseur de Natasha Kampusch s'est tué pour une raison très simple : il voulait échapper aux poursuites judiciaires, enlèvement, viol etc...

Une alternative pour échapper à la justice était certainement de tuer Natasha, mais,heureusement elle a pu s'enfuir.

Ce genre de personnage est égoïste et n'aime certainement pas ses victimes.

Pour ces pervers, les victimes sont toujours des objets sexuels. S'il ne s'était pas suicidé, il aurait une défense en justice basée sur une double personnalité qu'il prétendrait avoir.

Un pervers est toujours manipulateur et prévoit toujours la manière de se sortir d'un mauvais pas. S'il en avait eu marre de Natasha pour une raison quelconque, il l'aurait tuée sans hésiter.


Si Natacha Karlowski avait réussi à échapper à Patrick James, se serait-il suicidé ? Difficile de répondre à cette question, une donnée du problème ayant été assassinée.

En tout cas, le pervers voulait faire croire qu'il aimait Natacha (Karlowski) jusqu'à ce qu'on découvre qu'il avait mis en place une grosse stratégie pour abuser sexuellement de sa victime.

Aujourd'hui, la stratégie du pervers est de compter sur la justice belge, et j'ai bien peur qu'elle ne lui soit profitable.


07 février 2008

Patrick James était partout

Natacha et notre père, une des dernières photos.


Quand la photo de Patrick James est passée dans la Dernière Heure, j'ai sursauté. Je connaissais ce type, je l'avais déjà croisé très souvent, son visage m'était familier mais je n'arrivais pas à me souvenir d'où je le connaissais.

Ce n'est qu'après une semaine ou deux, en rencontrant une dame chez qui Natacha était venue pour admirer une portée de chiots , que j'ai su pourquoi j'avais cette impression que je connaissais cette crapule.

Cette dame me raconte que Natacha est partie de chez elle avec un grand et gros type, qui avait l'air de ne pas vouloir se faire remarquer.

Voilà, ce salaud, je le voyais chaque fois que je voyais Natacha, comme une image subliminale, il était partout, il surveillait Natacha.

La dernière fois que j'ai vu Natacha vivante, c'était au restaurant chinois près de la bourse. Nous nous étions réunis en famille pour l'anniversaire de ma mère. Ce type était là, dans le restaurant, à quelques tables de nous.

Voilà une des choses que j'aurais eu à dire lors de l'enquête si la juge d'instruction avait eu la bonne idée de nous demander si on connaissait l'assassin.

Au lieu de ça, on ne nous demande rien. Ma seule déposition concerne mon alibi pour le soir où Natacha fut massacrée; et à ce moment, on ne m'avait pas encore dit que Natacha avait été retrouvée morte.

Quand je téléphonais aux enquêteurs, on me répondait qu'on allait vers le crime passionnel, que c'était une histoire d'amour qui avait mal tourné.

J'avais accepté cette version et je n'insistais plus sur l'enquête. Je me disais que Natacha était tombée amoureuse d'un type trop jaloux.

Mais quelques mois plus tard, quand nous avons eu accès à une toute petite partie du dossier et que j'apprends que Patrick James reconnaît qu'il a abusé sexuellement de Natacha durant quatre ans (maintenant, je pense que c'est 5 ans, mais pour un violeur, il vaut mieux que la victime ait 16 ans et pas 15), là, je me dis qu'on nous a complètement tenus à l'écart de l'enquête. La juge d'instruction n'a rien compris depuis l'affaire Dutroux quand on disait que la justice devait être plus proche des victimes.

Il faudra attendre la cour d'assises pour que je puisse déclarer que j'avais déjà souvent croisé le tueur, en fait, chaque fois que je voyais Natacha.

En fait de justice, je ne suis pas loin de penser que la juge d'instruction veut donner toutes ses chances à un salaud et empêcher la famille de demander justice, sinon comment expliquer que personne de la famille de Natacha n'ait été entendu par Mme Q, juge d'instruction.

A suivre

06 février 2008

Belgique... De l'avortement à 3 euros aux peines incompressibles

Article de P. Gillon - Journal du sud de Belgique.

"La Belgique voit se multiplier les actes criminels..."

Depuis quelques années, la Belgique connaît une multiplication des actes criminels les plus graves : l'affaire Dutroux, l'affaire Lecrenier, l'affaire Fourniret, crime pour voler un lecteur MP3 à Bruxelles, crime raciste commis de sang-froid à Anvers, crime de Nathalie et Stacy à Liège, crime "gratuit" d'un jeune à Binche il y a à peine quelques jours...

Bien souvent ce qualificatif de crime peut-être remplacé par celui d'assassinat.
Il s'agit d'une manifestation de l'état du mal-être d'une société qui ne parviens plus à donner des limites et des objectifs clairs.
Si en Belgique on peut avorter pour 3 euros pourquoi ne pas tuer pour une cigarette, un lecteur de MP3. Ou même pour rien ?.

Le respect de la vie n'étant plus revendiqué comme une valeur fondatrice de la société belge (un thème ringard face à l'assouvissement des désirs de consommation et de bien-être immédiat).

Puisque rien ne peut (ne veut ?) empêcher l'acte, quelle réponse donner après ?. Quelle condamnation par quel tribunal ?.
Ici se pose la question de la peine et de sa durée.

Le système belge (le législateur belge) a choisi de donner un espoir, une possibilité de reclassement dans la société pour les criminels (y compris pour les auteurs des crimes les plus graves). Ce qui expose au risque de la récidive, toujours possible, et à d'autres victimes d'un récidiviste.

On pourrait qualifier ce choix de risque imposé à la société par le législateur qui veut donner une chance au criminel.

Dans le cas des crimes les plus graves, faut-il faire prendre ce risque de récidive à la société ?.

Une condamnation à perpétuité étant synonyme en Belgique de quelques années de prison, il se pose la question des peines incompressibles ou de la perpétuité réelle.

Comment réagit-on ailleurs ?.
Aux Etats-Unis, la peine de mort reste d'application dans la majorité des Etats et la perpétuité réelle (jusqu'à la mort naturelle en prison) une réalité.

Il y a bien peu de chance qu'en Belgique on rétablisse la peine de mort et l'exécution des condamnés à mort.

Une peine de prison incompressible de 20, 30 ans reste inimaginable aux yeux de certains (barbarie ?).
Dans le cas des crimes les plus graves, n'y a-t-il pas un affront aux victimes (et à leurs familles) par une libération jugée un peu rapide de l'auteur des faits ?.
Lorsqu'on supprime une ou plusieurs vies, il est en effet assez difficile de comprendre pour la famille des victimes que l'on soit remis en liberté en Belgique après quelques années prison et exécuté ou devant passer le reste de sa vie en prison aux Etats-Unis.

Une peine incompressible de 20 ou 30 ans de prison avant d'examiner une possibilité de remise en liberté serait-elle incompréhensible par le législateur en Belgique ?.
Il est vrai que lorsqu'on pratique journellement en Belgique des avortements à 3 euros...

P. Gillon - 26/02/2007

04 février 2008

Pas de conditionnelle pour les assassins

Le chef de groupe MR Daniel Bacquelaine a annoncé jeudi à la Chambre qu'il déposerait dans les prochains jours une proposition de loi disposant que tout récidiviste de faits de violence grave portant atteinte à l'intégrité physique des personnes devra non seulement purger dans sa totalité sa peine initiale mais qu'en plus il ne pourra en aucune manière bénéficier d'une libération conditionnelle.

C'est une bonne nouvelle si cette loi est votée, mais on pourrait encore faire mieux.

Un récidiviste le devient parce qu'on lui en donne l'occasion. Autant j'estime que chacun a droit à une seconde chance s'il dérape, autant j'estime que dans le cas de crime de sang prémédité ou de viol d'enfant, il ne faudrait pas donner une seconde chance au criminel.

Combien de victimes épargnées si les assassins avaient effectivement purgé leurs peines à perpétuité ? Et combien de victimes épargnées si les assassins savaient qu'ils auraient une vraie peine de perpétuité à accomplir ? Combien de viols d'enfants évités ?

A l'heure où j'écris ces lignes, l'assassin de Natacha n'est pas encore passé aux assises, ce qui ne l'empêche pas de prendre des contacts en vue de sa "réinsertion". Il cherche déjà un emploi et un logement. Il sait que même s'il est condamné à la peine la plus lourde, il a encore un bel avenir devant lui, pour lui, son court passage en prison n'est qu'un incident de parcours.

Les mécanismes qu'il a montés durant quatre années dans l'unique but d'abuser sexuellement d'une très jeune fille me font penser qu'il n'en restera pas là. A sa sortie de prison, il se choisira une gamine et reconstruira tout un plan sophistiqué (il a de l'expérience maintenant) pour commettre des viols et pour ne plus se faire attraper.

Si on n'a plus de place en prison pour tenir des violeurs et assassins d'enfant, je pense qu'il faudrait libérer les personnes emprisonnées pour non paiement de pension alimentaire, les auteurs de simple vol et, en règle générale, ceux qui n'ont pas porté atteinte à l'intégrité des personnes. Mais qu'on tienne à perpète ceux qui sont des vrais salauds.




02 février 2008

Le tueur trop con pour se forger un bon alibi














Après avoir méthodiquement émietté le crâne de Natacha, le tueur prend soin de cacher le corps en vue de l'enterrer dès qu'il fera jour. Il embarque tous les objets personnels de Natacha.

Plus tard, dans la nuit, il téléphone sur le portable de Natacha et laisse plusieurs messages : "Qu'est-ce-que tu fais, tout le monde te cherche, ta maman est très inquiète". Mais avant de laisser des messages sur le G.S.M. de Natacha, il avait appelé la maman pour demander où se trouvait Natacha.

Comme je l'avais déjà écrit dans un autre article, certains amis de Patrick James avaient essayé de faire porter les soupçons du meurtre de Natacha sur mon père et moi-même. Imaginons que les enquêteurs ne cherchent pas plus loin. Mon père et moi n'avions pas d'alibi. Nous dormions à l'heure de la mort de Natacha, nous on ne profite pas de nos soirées pour tuer des jeunes filles.


Son alibi mis en place, le salaud va dormir tranquillement, après avoir récupéré ses deux fillettes qu'il avait laissées chez une voisine.

Pensait-il que cet alibi tiendrait la route? En tout cas, lors de la première visite des enquêteurs, il tient cette version et les enquêteurs, à ce moment, n'ont rien contre lui, il n'est pas soupçonné.


La police, retraçant le parcours du G.S.M. visionne les enregistrements vidéo de la station de métro Shumann et voit donc le tueur emmener Natacha. Pour emmener Natacha, il lui avait dit que sa mère était inquiète et la cherchait. Il persuade alors Natacha de le suivre pour aller rassurer sa mère.

Dans une de ses versions, cette crapule prétendra que Natacha voulait aller avec lui pour lui annoncer qu'elle ne voulait plus le revoir. Imaginez une jeune fille de 20 ans, frêle, accompagner volontairement son violeur (1m91,130 kg.) dans une forêt pour lui annoncer qu'elle en avait marre de ce gros porc suant?? Décidemment, ce crétin ne doute de rien.

A suivre

31 janvier 2008

A-t-il voulu enterrer Natacha ?


Patrick James a plusieurs fois changé de version, au cours de l'enquête.

Bien sûr, chaque fois qu'il changeait de version, c'était pour se donner un moins mauvais rôle que le sien.

Dans l'une ou plusieurs d'entre elles, il déclare être revenu le lendemain matin de son crime, avec une trousse de premier secours, pour soigner Natacha.

Ce crétin n'avait peut-être pas compris qu'une jeune fille de 20 ans ne peut plus être vivante avec la moitié de la tête qu'il lui restait.

Patrick James avait pourtant suivi des cours de secouriste quelques années avant et devait donc forcément savoir que Natacha était morte.

Dans une autre de ses versions, il déclare que Natacha vivait quand il a eu fini de la massacrer. Ce qui ne l'a pas empêché de faire une quinzaine de kilomètres pour se débarasser de l'arme du crime, avant d'aller dormir chez lui. C'est pratique ça : "je ne l'ai pas tuée, elle vivait encore après que je l'aie frappée".

Il déclare donc qu'il est revenu le lendemain matin, avec sa trousse de premier secours et ... ses deux petites filles de très jeune âge. Imaginez le spectacle pour ces enfants si cette version était réelle.

En fait, les enquêteurs ayant suivi la trace de son G.S.M., il a bien dû reconnaître qu'il était retourné le lendemain matin, et vu ses talents de manipulateur, il a inventé cette histoire à dormir debout suivant laquelle il voulait soigner sa victime.

La vérité de son retour sur les lieux du massacre est tout à fait imaginable. Sachant qu'il a pris grand soin de préparer l'arme du crime, de s'en débarasser à plus de quinze kilomètres, il me semble évident qu'il avait aussi préparé une pelle pour l'enterrer. J'ignore pourquoi il n'a pas réussi à l'enterrer, mais pour être allé quelques jours après sur les lieux, je peux affirmer qu'aux environs de cinq heures du matin, il y avait déjà beaucoup de monde sur les sentiers de la forêt de Soignes. Le corps a d'ailleurs été très vite découvert par un promeneur et il faut se souvenir que c'était une époque de grande chaleur.

Mais alors, elle est où cette pelle me demanderait-on... Eh bien je suppose que la juge d'instruction Mme Q. a fait une enquête la dessus. On lui demandera à la cour d'assises comme on lui demandera pourquoi elle ne l'a pas fait si c'était le cas.

A suivre

27 janvier 2008

Pourquoi parle-t-on de viols?


Si vous avez lu les rares articles de la Dernière Heure, vous devriez vous poser une question :

Mais ou parle-t-on de viol ?

Ni la Dernière Heure, ni le Nouveau Détective pourtant le premier à avoir cherché à savoir pourquoi Natacha fut assassinée ne parle de viol.

Personne ne semble être au courant que Natacha subissait des horreurs de la part de Patrick James, (28 ans au début des faits).

Nous mêmes, la famille, ne l'avons appris que très tard lorsque nous avons pu avoir accès à une partie du dossier.

Après un bon travail de recherche de la police fédérale, Patrick James a reconnu qu'il avait créé un blog ou un site (imprécis) internet parlant de l'herpès génital. Sur ce site ou blog, il était démontré qu'une enfant devait coucher avec un adulte pour guérir de l'herpès.

Rappelons que Natacha avait 15 ou 16 ans à l'époque et qu'à cet âge on peut être naïve.

Il avait également inventé un couple de Canadiens qui, par messages texto, conseillait à Natacha de coucher avec Patrick James.

Il avait monté tout un stratagème autour de Natacha dans le seul but de faire d'elle sa chose.

Chaque fois que Natacha voulait consulter un médecin, il usait d'un prétexte pour l'en empêcher, utilisant parfois ses deux très jeunes filles dans le but de continuer à commettre ces viols.

Oui, je parle clairement de viol : la loi belge dit entre autre qu'utiliser la ruse pour arriver à ses fins sexuelles est un viol.

Patrick James a eu droit à une ou plusieurs expertises psychiatriques. Pourquoi ne demanderait-on pas à un expert psychiatre d'examiner le comportement de Natacha afin de déterminer pourquoi elle était sous l'emprise de cette crapule (syndrome de Stockholm ou autre).

Evidemment il aurait été plus simple d'examiner Natacha vivante, mais les preuves ont été assassinées, parce que, je n'en doute pas, Natacha libérée de l'emprise c'est le James qui serait prisonnier avec une accusation de viol.

Natacha avait rencontré, quelques temps avant son assassinat, un brave garçon de son âge qui lui conseillait de consulter un médecin. On peut deviner la contrariété de James qui voit son objet sexuel hors de son emprise.

Voilà pour expliquer pourquoi la famille de Natacha parle de viols. Je reviendrai plus tard sur ces viols et sur l'âge supposé de Natacha au moment de ceux-ci.

Quand je lis Gilbert Dupont décrivant l'amour de James pour Natacha, j'ai des sueurs froides.

Mr Dupont, si vous avez vent de ce blog, je vous supplie de demander les vrais détails du dossier; ou alors je veux bien vous les donner.

A suivre...

Violée durant 4 ans et assassinée





Bonjour à tous,


J'écris sur ce blog car j'ai le sentiment profond que ma famille est victime d'une injustice.

Le 30 juin 2006, un corps est découvert dans la forêt de Soignes, à Auderghem. Ce corps est celui de ma demi-soeur, mais je ne l'apprendrai qu'après avoir été perquisitionné et entendu par la police fédérale.

Natacha avait eu 20 ans quatre jours avant son assassinat.

Le tueur (Patrick James) est arrêté 2 jours plus tard malgré le fait que certains de ses amis ont essayé de faire accuser la famille.

Ce n'est que quelques mois plus tard que nous apprenons, par notre avocate, que le tueur reconnait avoir violé Natacha durant 4 longues années.

Nous ne comprenons pas à l'heure actuelle pourquoi Mme Q, juge d'instruction, a terminé son instruction (en un temps record d'après Gilbert Dupont de la D.H.) sans retenir la prévention de viol.

Vous lisez bien : l'assassin reconnaît avoir violé une jeune fille de 16 ans jusqu'à ses 20 ans et ne sera même pas poursuivi pour cela.

Je n'ai rien contre Mme Q, d'ailleurs je ne la connais pas puisque JAMAIS elle n'a posé la moindre question à la famille. Pas une petite fois la famille n'a été invitée à lui parler!!

Patrick James reconnait les viols et n'est pas poursuivi pour ça.
Patrick James Reconnait des coups et blessures mais pas l'assassinat...

Nous craignons donc à juste titre que ce monstre s'en sorte avec une petite condamnation, qu'il soit libéré rapidement et qu'il recommence des viols.

En passant, merci à la police fédérale de ne pas être tombé dans le panneau d'un crime familial et merci à Mr Gilbert Dupont qui a été un des rares journalistes à avoir écrit un peu sur Natacha.

A suivre

Un bel hommage de Jacques Benoit pour Natacha.


Natacha
envoyé par Gencorsoif

Natacha